Skip to content
Revue Polaire
Revue Polaire
  • À propos
  • Auteurs
  • Liens
  • Éditions Polaire
  • Contact
  • Catégories
    • Voix (poèmes)
    • Voies (textes critiques)
    • Affinités électives (nos invités)
    • On the rocks (sur le vif, nos billets d’humeur)
    • Pères & Mères (nos modèles, nos héros, nos saints, nos valeurs)
    • À la Saint Charlemagne (nos coups de cœur)
    • Boutique (bibliographies & biographies, manifestations)
    • Brocante (archives & rires)
    • Éditoriaux
    • Imago mundi (expositions)
    • Le « Phanographe » (vidéos)
    • Le Pilori (nos exaspérations)
  • Rechercher
Revue Polaire
Revue Polaire

Bonnefoy, une fois !… [Une fois de trop ?…]

Jean-Louis Cloët Jean-Louis Cloët, 31 octobre 20076 août 2023

M. Yves Bonnefoy, grand Papa-immobile depuis 1953 de la poésie postmoderne, vient d’obtenir le « Prix Franz Kafka ».

Une bonne nuit la dessus, et je vous dirai ce qu’on peut en penser.

Confidence faite aux lectrices et aux lecteurs : c’est lui, l’ancêtre désolant, qui devait inaugurer notre « Pilori ».

Vous saurez bientôt pourquoi.

Mais rien ne presse, non !… Une bonne nuit là-dessus !

RAJOUT DU 1er novembre, jour de la Toussaint :

Gros article bientôt à paraître. Mon acte ne sera pas pamphlétaire, bien sûr, mais critique : je décortique, je cite avec sources et références, je mets en perspective ; j’avance mes preuves sur cette question : pourquoi je n’aime pas Yves Bonnefoy, ni sa « poésie ». Pourquoi il incarne, selon moi, le prototype même, l’archétype même du « poète » postmoderne en ce début de millénaire : un homme à jamais du passé, que je vois sans postérité aucune, du moins je l’espère pour l’avenir possible encore de la littérature ; car la vraie poésie — quoi qu’en pense ou dise notre titulaire de la chaire de poésie au Collège de France où il joue faussement les Paul Valérys — est celle qui ne pose pas, celle qui ne ment pas, celle qui propose, celle qui donne un but à la vie, un espoir, une espérance : une possibilité d’enchanter encore ce monde, en se battant pour quelque chose de plus grand que soi, de manière honnête et lucide.

RAJOUT du 2 novembre, « Jour des Morts » :

— C’est fait

Le Pilori (nos exaspérations)

Navigation de l’article

Previous post
Next post

Articles récents

  • La délicatesse : un podcast poétique
  • Jean-Yves Plamont, ou le Buster Keaton de la poésie
  • Une page de Regain de Jean Giono : La Première Fois
  • L’Évolution du personnage de roman français au XIXe siècle
  • Crèvecœur d’Emilio Sciarrino

Archives

  • juillet 2024
  • mai 2024
  • mars 2024
  • décembre 2023
  • octobre 2023
  • septembre 2023
  • août 2023
  • mai 2023
  • mars 2020
  • février 2020
  • mars 2010
  • janvier 2010
  • juillet 2009
  • juin 2009
  • mai 2009
  • avril 2009
  • février 2009
  • janvier 2009
  • décembre 2008
  • novembre 2008
  • octobre 2008
  • septembre 2008
  • août 2008
  • juillet 2008
  • juin 2008
  • mai 2008
  • avril 2008
  • mars 2008
  • février 2008
  • janvier 2008
  • décembre 2007
  • novembre 2007
  • octobre 2007
  • septembre 2007
  • août 2007
  • novembre 2006

Catégories

  • À la Saint Charlemagne (nos coups de cœur)
  • Affinités électives (nos invités)
  • Boutique (bibliographies & biographies, manifestations)
  • Brocante (archives & rires)
  • Éditoriaux
  • Imago mundi (expositions)
  • Le Pilori (nos exaspérations)
  • Non classé
  • On the rocks (sur le vif, nos billets d’humeur)
  • Pères & Mères (nos modèles, nos héros, nos saints, nos valeurs)
  • Voies (textes critiques)
  • Voix (poèmes)

©2025 Revue Polaire | WordPress Theme by SuperbThemes