Skip to content
Revue Polaire
Revue Polaire
  • À propos
  • Auteurs
  • Liens
  • Éditions Polaire
  • Contact
  • Catégories
    • Voix (poèmes)
    • Voies (textes critiques)
    • Affinités électives (nos invités)
    • On the rocks (sur le vif, nos billets d’humeur)
    • Pères & Mères (nos modèles, nos héros, nos saints, nos valeurs)
    • À la Saint Charlemagne (nos coups de cœur)
    • Boutique (bibliographies & biographies, manifestations)
    • Brocante (archives & rires)
    • Éditoriaux
    • Imago mundi (expositions)
    • Le « Phanographe » (vidéos)
    • Le Pilori (nos exaspérations)
  • Rechercher
Revue Polaire
Revue Polaire

Maximes & pensées

Jean-Louis Cloët Jean-Louis Cloët, 21 avril 20096 août 2023

Embarqué dans des rêves de métissages improbables, j’ai abandonné cette revue qui était pourtant ma fille, la laissant orpheline, l’ayant reniée. Je le regrette aujourd’hui et j’y reviens, humblement. N’ayant pas le temps de rédiger pour l’heure des articles complets ou des poèmes, sauf ponctuels, je juge opportun de reprendre le chemin de la publication sur la toile en offrant chaque jour au plaisir ou au déplaisir des lectrices et des lecteurs, cinq maximes ou pensées, comme autant d’« os » à rogner, pour y trouver quelque « substantifique moëlle »… potentielle. J’entends m’y tenir, désormais.
— Qu’on me pardonne d’avoir rêvé… à l’exclusive, à l’exclusion de tout le reste.
Il faut que naïveté se passe.*
On couche les choses sur le papier, pour les endormir, pour leur faire l’amour ou les faire mourir, et, le plus souvent, tout ensemble.
[Date indéterminée.]

*
Quand on a des comptes à régler avec autrui, c’est pour tenter d’oublier qu’on a des comptes à rendre à soi-même.
[2008]

*
La langue française est avant tout musicale. Dans la musique tout se joue dans le contraste et avec les silences. La langue française est avant tout faite pour suggérer plutôt que dire… et tout le reste est mots.
[Date indéterminée.]

*
Plus un artiste est grand, plus il se tait. L’Art est maïeutique, comme la pensée.
[Date indéterminée.]

*
Se damner par l’espérance : le paradoxe par excellence. Dante ne l’a pas compris qui inscrit sur le porche de son Enfer : « vous qui entrez ici laissez toute espérance. » C’est par l’espérance que le damné souffre aussi.
[Date indéterminé.]

On the rocks (sur le vif, nos billets d’humeur)

Navigation de l’article

Previous post
Next post

Articles récents

  • La délicatesse : un podcast poétique
  • Jean-Yves Plamont, ou le Buster Keaton de la poésie
  • Une page de Regain de Jean Giono : La Première Fois
  • L’Évolution du personnage de roman français au XIXe siècle
  • Crèvecœur d’Emilio Sciarrino

Archives

  • juillet 2024
  • mai 2024
  • mars 2024
  • décembre 2023
  • octobre 2023
  • septembre 2023
  • août 2023
  • mai 2023
  • mars 2020
  • février 2020
  • mars 2010
  • janvier 2010
  • juillet 2009
  • juin 2009
  • mai 2009
  • avril 2009
  • février 2009
  • janvier 2009
  • décembre 2008
  • novembre 2008
  • octobre 2008
  • septembre 2008
  • août 2008
  • juillet 2008
  • juin 2008
  • mai 2008
  • avril 2008
  • mars 2008
  • février 2008
  • janvier 2008
  • décembre 2007
  • novembre 2007
  • octobre 2007
  • septembre 2007
  • août 2007
  • novembre 2006

Catégories

  • À la Saint Charlemagne (nos coups de cœur)
  • Affinités électives (nos invités)
  • Boutique (bibliographies & biographies, manifestations)
  • Brocante (archives & rires)
  • Éditoriaux
  • Imago mundi (expositions)
  • Le Pilori (nos exaspérations)
  • Non classé
  • On the rocks (sur le vif, nos billets d’humeur)
  • Pères & Mères (nos modèles, nos héros, nos saints, nos valeurs)
  • Voies (textes critiques)
  • Voix (poèmes)

©2025 Revue Polaire | WordPress Theme by SuperbThemes