Maximes, pensées, bribes & fragments/7

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Ceux qui toujours critiquent : les atrabilaires, les académiciens de la bile jaune ou mieux noire qui prennent leur pituite pour un cerveau et se font un trône des tonnes d’excréments qu’ils chient sans cesse sur les autres… : ceux qui s’emmerdent.
[19 / III / 08]

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Entre Victor Hugo qui laisse comme testament : « Aimer, c’est agir » et Maupassant qui écrit : « Faîtes-moi rêver », il y a des livres généreux, impertinents comme l’enfance, les rêves de l’adolescent… XXXXXX est de ceux-là.
[4 / II / 08]

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Éros et Thanatos : voilà ce qui intéresse les gens. Mais quand ils l’ont compris, vu « au-delà », ils vont au cœur et ne s’intéressent plus qu’à lui, qu’à lui seul : l’amour.
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Lire Kafka, c’est accepter d’être Œdipe et se confronter à son propre sphinx.
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L’Œuvre kafkaïen est le lent récit d’une dévoration, non par le sphinx, mais par le père que Kafka n’a pas su tuer.
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L’amour, l’amitié, c’est faire s’épouser des différences, découvrir que ces différences sont en réalité complémentaires, qu’elles sont une chance.
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Consommer l’autre, le digérer et le chier… : c’est ce que beaucoup appellent l’amour.
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Il n’y a que les êtres blessés, il n’y a que les êtres creusés qui fassent écho.
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La passion tourne à la Passion, toujours.
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Une femme amoureuse, c’est un général en campagne, prêt à toutes les audaces.
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Dans la vie, trop de choses à remplir, à vider.
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Dans la vie, il y a des choses qui rentrent et qui sortent… : la nourriture, les sexes… On aimerait bien qu’elles restent.
[20 / III / 08]

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Le sexe de la femme ?

— C’est une rose qui pousse dans un coquelicot. Il fallait être Dieu pour inventer cela.
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